Ce qu’en dit la presse (cliquer sur le nom du support pour lire la critique) :
CAUSETTE
« Un portrait de femme féministe, drôle et farouchement indépendante. »
LE MONDE
NOTRE TEMPS
« NE M’OUBLIE PAS : quand l’Histoire perd la mémoire. (…) Le portrait est émouvant, la situation poignante, d’autant plus que rien ne semble devoir arrêter les progrès de la maladie et de la déchéance intellectuelle de Gretel. Son fils se lance dans l’exploration du passé et de la jeunesse de celle-ci. Retour vers une vie en voie de s’éteindre à l’aide d’images d’archives ou de films de famille retrouvés. C’est dans cette réactivation de la mémoire que soudain Gretel dépasse son statut de cas clinique, d’être humain souffrant, pour devenir la métaphore incarnée d’un passé évanoui. (…) NE M’OUBLIE PAS réussit à combiner âpre témoignage documentaire et questionnement historique. »
NOTRE TEMPS
« Bien plus qu’un film… (…) Il y a quelques années, lors d’un repas de Noël, Gretel montre les signes tangibles de la maladie d’Alzheimer. Son fils, David, cinéaste reconnu, décide alors de réaliser un film pour perpétuer les souvenirs de sa mère en les fixant sur une pellicule. Six mois de tournage, une démarche émouvante, intime, douloureuse mais, au bout du compte, si positive. »
SCIENCES & AVENIR
STUDIO CINE LIVE
TELERAMA
« On rit, on pleure, plongés dans ces moments d’intimité difficiles, parfois cocasses, jamais voyeurs. Loin d’être un film sur la tragédie de cette maladie, c’est un hommage aux malades et à leur entourage, un hymne à la vie. »
STUDIO CINE LIVE
« Délicat et poignant. (…) Bouleversant car dénué de tout apitoiement et toujours capté dans la justesse d’un regard éperdument amoureux. »
TELERAMA
« Histoire de Gretel, vue par les yeux tendres et insistants de son fils David, le documentariste. Gretel a la maladie d’Alzheimer, et David vient s’occuper d’elle. Pas seulement pour soulager son père, prof septuagénaire à la retraite, mais aussi pour rassembler coûte que coûte les bribes du passé, le souvenir vacillant d’une famille, d’un couple, d’une femme. Sur les archives, photos jaunies des sixties, la beauté altière de Gretel éclate. En contrepoint, les images d’aujourd’hui scrutent un autre sourire, celui d’une vieille femme dont l’esprit meurt tout doucement. Le cinéaste brasse plusieurs sujets en un seul. Déclaration d’amour et enquête sans fausse pudeur sur ses parents, leurs infidélités et leurs erreurs, ce film délicat trace aussi le parcours d’une génération de bourgeois allemands, lettrés, nés avec la guerre, et tentés par le militantisme d’extrême gauche, l’amour libre et la contestation. Au terme de ce voyage intime, la mémoire est sauve. »